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Les Futurs de Liu Cixin - La Perfection du cercle

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Présentation

Xavier Besse (Auteur)

 

227 avant JC, époque des Royaumes combattants. Ying Zheng, roi de la dynastie Qin, veut unifier la Chine. S'il prouve qu'il connaît le langage du Ciel et en comprend les desseins, il les mènera tous vers un avenir meilleur. Grâce à un tout nouveau mode de calcul de données à grande échelle, le savant Jing Ke va lui enseigner ce langage qui réside dans la forme la plus parfaite au monde, le cercle.

Marque éditoriale : DELCOURT

Collection : Neopolis

Bandes dessinées - Bandes dessinées de genre - Action et aventures

Texte en français

9782413038061

Note de lecture Tangente

Ying Zheng, qui sera le premier empereur de Chine, est encore roi de Qin en ‒227, à la fin de la période des Royaumes combattants. Alors qu’il se sent divinement investi par la mission d’unification du monde et prête attention aux prêtres et aux mystiques, Jing Ke, un mystérieux émissaire du royaume voisin de Yan, déjoue un attentat contre lui. Cet étranger se révèle être un mathématicien réputé, et propose de mettre son savoir au service du roi de Qin.

Le savant convainc le monarque de désarmer ses trois millions de soldats pour les mettre au service d’un grand projet calculatoire afin de déterminer les cent mille premières décimales de π. Le cœur de l’argument touche à la fameuse conjecture concernant le caractère « universel » de ce nombre (selon laquelle toute suite finie de nombres se trouverait dans le développement décimal de π). Quant à la mise en œuvre du calcul, détaillée sur plusieurs planches explicatives précises, elle n’est pas sans rappeler le fonctionnement d’un micro-processeur ou le langage binaire ; elle est matérialisée par des soldats levant des drapeaux blancs ou noirs.

Le scénario de cette bande dessinée est une adaptation d’une des nouvelles de Liu Cixin, auteur de science-fiction chinois célèbre pour sa trilogie Le Problème à trois corps (Actes Sud, 2016). Xavier Besse donne à voir une belle maîtrise graphique où se mêlent références à la calligraphie et à la peinture chinoises et clins d’œil aux mathématiques et à l’informatique.